There is just something about waterfalls that simply mesmerizes me. I have seen some of the world’s most amazing waterfalls so far. And I am still amazed by each one. We all know that TLC song about chasing waterfalls, and yes while I know it is a metaphor, I cannot help but think the lyrics are wrong. We should all be chasing waterfalls. The cascading water and its sheer force does something magical to the soul that should be experienced over and over again.
I knew when planning my 30th birthday trip to Rio de Janeiro and Buenos Aires that I could not miss the Iguazú/Iguassu waterfalls (the spelling depends on the country and language preference). I was glad to note that January is the wet season, because it meant the falls would be at their most powerful. The falls are one of the natural wonders of the world because they are the largest broken waterfall in the world.
Most people fail to realize that the falls mark a natural border not just between Brazil and Argentina, but also with Paraguay. That side of the falls is however much less visited than the other two. Both Brazil and Argentina have national parks centered around the falls, and the experience is unique on each side. We decided to start with the Argentina side during our visit. It was really easy to fly to Iguazú from Buenos Aires. There were quite a few options between EZE (Buenos Aires) and IGR (Puerto Iguazú in Argentina, not to be confused with IGU, Foz do Iguaçu International Airport in Brazil). I simply booked our ticket directly with Aerolíneas Argentinas a couple of days before the flight.
Besides the flight, I had not planned much else. Having read a few internet articles, I knew that it would be fairly easy to get transportation to the actual falls. And I was right. Upon landing, we headed to a small booth in the arrivals hall and booked a roundtrip taxi. Our driver was super friendly and gave us a brief ecological description of the area. He also pointed out the various little animals that we encountered on the drive.
The temperature was definitely cooler than it had been in the capital, and the air was much fresher. As we made our way towards the falls, I admired the lush green vegetation surrounding us. The driver dropped us off right at the entrance of the Iguazu National Park, and stated that he would wait for us, no matter how long we took. We got in line to purchase our tickets, and the line moved really quickly. After buying our tickets and a cheap raincoat, we entered the park.
Right after the entrance, there is a museum. We spent a few minutes there, getting familiar with the flora and fauna inside the park. Then, it was time to go see the falls. There are two main trails to see the falls. Prior to getting to the trails, there is a small train, the Jungle Train (Tren de la Selva), taking tourists from the entrance to the falls. While on the train, approaching the falls, we could already start hearing them. The falls roar, loudly. It creates a sense of trepidation at the expectation of what is to come. After getting off the train, we first decided to start with the trail to Devil’s Throat, following the flow of tourists. I noticed that few tourists had opted to go on the other trails. After all, the Devil’s Throat is the main attraction, so that is to be expected.
We stopped quite a few times for photos along the way. I was impressed by the different stop points allowing for people with mobility issues to rest along the way. The closer we got to the falls, the mistier and rainier it got. And then we were there. The place was super crowded with tourists, but it did not bother me. I am not sure what I had expected, but it definitely surpassed my expectations. Similarly to Eleanor Roosevelt, I remember thinking Niagara Falls paled in comparison. The exhilaration I felt was similar to what I felt when seeing Victoria Falls the first day, multiplied. The Iguazu Falls were simply majestic. The falls are massive.
After spending quite some time taking some photos and videos, we decided to go check out the lower falls via the other trail. It took us a couple of hours to complete that trail. Yes, looking back now, it almost feels like we should have spent even more time admiring the falls. The National Park is open from 8AM to 6PM daily, and honestly it would be quite easy to spend an entire day exploring it.
The second trail was much less crowded. It was almost as if the mass of tourists had simply decided that it was not worth it. There were many viewpoints along the way, making for nice photo stops. And though the falls look further from that trail, the walk is much more pleasant. We felt less rushed. I do not recall what we ate, probably sandwiches, but I do remember there being multiple dining facilities at the park. All the food and trash is kept locked up to prevent the animals getting to it. We did witness some clever ones trying, and sometimes succeeding to get away with tourists’ meals.
At the end of the day, we headed back towards the entrance where we picked up a few handmade souvenirs from a pop up shop. Our driver was waiting for us outside as promised. As he drove us back to the airport, he asked us if we had enjoyed our day. I know he could tell from the look of amazement in our eyes that we definitely had a good time.
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Je savais lors de la planification de mon voyage pour mes 30 ans à Rio de Janeiro et Buenos Aires que je ne pouvais pas rater les cascades d’Iguazú/Iguassu (l’orthographe dépend du pays et de la préférence linguistique). J’étais contente de constater que janvier serait en saison pluvieuse, car cela signifiait que les cascades seraient plus puissantes. La chute est l’une des merveilles naturelles du monde car ce sont les plus importantes cascades au monde en terme de concentration en nombre et volume.
La plupart des gens ne réalisent pas que les chutes marquent une frontière naturelle non seulement entre le Brésil et l’Argentine, mais aussi avec le Paraguay. Ce côté des chutes est cependant beaucoup moins visité que les deux autres. Le Brésil et l’Argentine ont des parcs nationaux centrés autour des chutes, et l’expérience est unique de chaque côté. Nous avons décidé de commencer par le côté argentin lors de notre visite. C’était vraiment facile de se rendre à Iguazú depuis Buenos Aires. Il y avait pas mal d’options entre EZE (Buenos Aires) et IGR (Puerto Iguazú en Argentine, à ne pas confondre avec IGU, l’aéroport international de Foz do Iguaçu au Brésil). J’ai simplement réservé notre billet directement avec Aerolíneas Argentinas quelques jours avant le vol.
À part le vol, je n’avais pas prévu grand-chose d’autre. Après avoir lu quelques articles sur Internet, je savais qu’il serait assez facile de se rendre aux cascades. Et j’avais raison. À l’atterrissage, nous nous sommes dirigés vers un petit stand dans le hall des arrivées et avons réservé un taxi aller-retour. Notre chauffeur était super sympa et nous a donné une brève description écologique de la région. Il a également souligné les différents petits animaux que nous avons rencontrés sur le trajet.
La température était nettement moins élevée qu’elle ne l’avait été dans la capitale, et l’air était beaucoup plus frais. Alors que nous nous dirigions vers les chutes, j’ai admiré la végétation luxuriante qui nous entourait. Le chauffeur nous a déposés juste à l’entrée du parc national d’Iguazu et a déclaré qu’il nous attendrait, peu importe le temps que nous prendrions. Nous avons fait la queue pour acheter nos billets et la file a avancé très rapidement. Après avoir acheté des billets et un imperméable bon marché, nous sommes entrés dans le parc.
Juste après l’entrée, il y a un musée. Nous y avons passé quelques minutes à nous familiariser avec la faune et la flore du parc. Ensuite, il était temps d’aller voir les chutes. Il y a deux sentiers principaux pour voir les chutes. Avant d’arriver aux sentiers, il y a un petit train, le train de la jungle (Tren de la Selva), qui emmène les touristes de l’entrée aux chutes. Dans le train, à l’approche des cascades, on pouvait déjà commencer à les entendre. Les cascades rugissent, bruyamment. Ça crée un sentiment d’appréhension à l’attente de ce qui est à venir. Après être descendus du train, nous avons d’abord décidé de commencer par le sentier vers Devil’s Throat (Gorge du Diable), en suivant le flux de touristes. J’ai remarqué que peu de touristes avaient opté pour les autres sentiers. Après tout, la Gorge du Diable est l’attraction principale, il faut donc s’y attendre.
Nous nous sommes arrêtés plusieurs fois pour prendre des photos en cours de route. J’ai été impressionnée par les différents points d’arrêt permettant aux personnes à mobilité réduite de se reposer en cours de route. Plus nous nous rapprochions des chutes, plus il y avait de brouillard et de pluie. Et puis, nous y sommes arrivés. L’endroit était super bondé de touristes, mais cela ne m’a pas dérangé. Je ne suis pas sûre de ce à quoi je m’attendais, mais cela a définitivement dépassé mes attentes. Comme Eleanor Roosevelt, je me souviens avoir pensé que les chutes du Niagara étaient moins impressionnantes en comparaison. La joie de vivre que j’ai ressentie était similaire à ce que j’ai ressenti en voyant les chutes Victoria le premier jour, multipliée. Les chutes d’Iguazu étaient tout simplement majestueuses. Les cascades sont massives.
Après avoir passé pas mal de temps à prendre des photos et des vidéos, nous avons décidé d’aller voir les chutes inférieures par l’autre sentier. Il nous a fallu quelques heures pour terminer ce parcours. Oui, en regardant en arrière maintenant, on a presque l’impression que nous aurions dû passer encore plus de temps à admirer les chutes. Le parc national est ouvert tous les jours de 8h à 18h, et honnêtement, il serait assez facile de passer une journée entière à l’explorer.
Le deuxième sentier était beaucoup moins encombré. C’était presque comme si la masse de touristes avait simplement décidé que cela n’en valait pas la peine. Il y avait de nombreux points de vue le long du chemin, faisant de beaux arrêts photo. Et bien que les chutes semblent plus éloignées de ce sentier, la promenade est beaucoup plus agréable. Nous nous sommes sentis moins pressés. Je ne me souviens pas de ce que nous avons mangé, probablement des sandwichs, mais je me souviens qu’il y avait plusieurs restaurants dans le parc. Toute la nourriture et les déchets sont gardés sous clé pour empêcher aux animaux d’y accéder. Nous en avons vu des petits malins essayer, et parfois réussir, à déguerpir avec les repas des touristes.
À la fin de la journée, nous sommes retournés vers l’entrée où nous avons acheté quelques souvenirs faits à la main dans une boutique éphémère. Notre chauffeur nous attendait dehors comme promis. En nous ramenant à l’aéroport, il nous a demandé si nous avions apprécié notre journée. Je sais qu’il pouvait dire d’après nos yeux étincelants que nous avions définitivement passé un bon moment.